Décès de Brian Mulroney : « Il a transformé le Canada »

À l’occasion de sa revue de presse en remplacement de Paul Arcand, vendredi matin, Valérie Lebeuf aborde l’adoption du projet de loi 89 pour limiter le droit de grève par Québec, malgré l'opposition du milieu syndical. Le gouvernement peut désormais intervenir pour mettre fin à des conflits de travail qui affecteraient selon lui de manière disproportionnée la population en imposant l’arbitrage des conditions de travail. «Selon lui, il y a une culture de militantisme au Québec et ça a des conséquences et ça génère des discussions aux tables de négociation, des discussions qui sont intenses également.» Autres sujets traités: Un anesthésiste de l'Outaouais doit parcourir 600 kilomètres pour aller travailler, faute de temps opératoire dans sa région; Après le Manitoba, la Saskatchewan déclare l'état d'urgence en raison des feux de forêt; Une cour d'appel américaine maintient temporairement les droits de douane imposés par Donald Trump.

À l’occasion de sa revue de presse, jeudi matin, Valérie Lebeuf aborde la décision d’un tribunal américain qui empêche maintenant le président Donald Trump d'imposer la majeure partie de ses tarifs douaniers à l’international. Le Tribunal de commerce international des États-Unis met ainsi un frein à la guerre commerciale du président américain, ce qui ouvre la voie à une bataille juridique sur le sujet. «Le Tribunal de commerce international des États-Unis à New York estime que seul le congrès a le pouvoir de réguler le commerce international.» Autres sujets traités: La grève du secteur résidentiel dans la construction inquiète tant les entrepreneurs que les propriétaires; Le gouvernement du Québec et le ministre Simon Jolin-Barrette s'opposent à la pluriparentalité et s'adresseront à la Cour d'appel afin de défendre leur position. La saison touristique québécoise risque d'être affectée par les restrictions en immigration.

À l'occasion de sa revue de presse, mercredi matin, en remplacement de Paul Arcand, Valérie Lebeuf aborde l'absence d'entente entre l'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (l'APCHQ) et l'Alliance syndicale, alors qu'un premier jour de grève a été déclenché depuis minuit dans la construction résidentielle. Elle explique que les ententes dans les autres secteurs de la construction comprennent des augmentations de salaire de 22% sur quatre ans. Les offres actuelles tourneraient actuellement autour de 18% pour ces employés. «L'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec indique que si l'impasse devait persister, elle demande donc à l'Alliance d'accepter rapidement l'offre d'aller en médiation-arbitrage afin d'avoir une résolution rapide du conflit», explique Valérie Lebeuf.  Autres sujets traités: Pour résorber son déficit, le conseil d'administration de la SAAQ aurait envisagé de piger dans le fonds qui sert à indemniser les accidentés de la route; Des centaines de personnalités québécoises et acadiennes demandent au premier ministre Mark Carney de lever le ton face à Israël à propos de son offensive militaire dans la bande de Gaza; 200 millions de dollars dorment dans les coffres de l'agence de revenu du Canada.  

À l'occasion de sa revue de presse en remplacement de Paul Arcand, mardi matin, Valérie Lebeuf aborde le dossier des négociations dans le domaine de la construction résidentielle. Selon ce que rapporte le Journal de Montréal, l'Association des professionnels de la construction et de l'habitation du Québec (APCHQ) aurait déposé une nouvelle offre majorée à l'Alliance syndicale de la construction afin de dénouer l'impasse. L'Alliance, qui regroupe cinq syndicats de l'industrie, menace de déclencher la grève dès demain si aucune entente n'est conclue. Autres sujets abordés Au moment où le Bloc québécois veut rendre le serment d'allégeance au roi optionnel, des centaines de personnes ont célébré l'arrivée du souverain dans la capitale fédérale hier. La guerre commerciale fait mal aux organismes d'aide alimentaire au Québec, les dons sont moins importants et la demande explose. Un sondage révèle que les Montréalais sont en majorité contre la collecte des déchets aux deux semaines.