Environ 1500 personnes qui ne respectaient pas la distanciation physique ont été évacuées de la plage d'Oka, mercredi vers 15 h.
Jeudi, la capacité du site sera réduite à 750 personnes.
Fêtards en état d'ébriété, refus de se conformer, peu de collaboration, violence verbale et impolitesse étaient le mot d'ordre avant que les agents de la SQ ne se pointent en milieu d'après-midi, mercredi.
Au micro de Paul Arcand, jeudi matin, le maire d'Oka, Pascal Quevillon, a mentionné que cette catégorie de visiteurs n'est pas souhaitée et que ceux qui sont des habitués du Beach Club devront attendre la réouverture de leur lieu de prédilection.
« Ce genre de clientèle qu'on retrouve présentement à la plage d'Oka n'est pas habituel; ç'a déjà été ça il y a plus de 30 ans au parc d'Oka. C'était réputé pour faire la fête, autant pour le camping aussi. On a travaillé fort pour ramener ça familial pour justement que l'aspect party arrête. C'est sûr qu'on ne veut pas que ça revienne en arrière. »
« Le parc national d'Oka et la plage d'Oka, c'est une destination familiale en premier lieu. Là, on se retrouve avec des fêtards qui ont l'habitude d'aller ailleurs et que je ne nommerai pas... »
« Vous ne voulez pas le dire, mais vous parlez d'une gang du Beach Club notamment... »
« Oui, entre autres... »
Le propriétaire du Beach Club, Olivier Primeau, a récemment laissé entendre qu'il rouvrirait son site cet été.