Le CISSS des Laurentides a, de nouveau, eu recours dimanche soir 4 juillet à la loi sur les services essentiels pour forcer le retour au travail d'infirmières à l'urgence de l'Hôpital régional de Saint-Jérôme.
Les travailleuses du soir ont imité leurs collègues de jour et n'ont pas voulu se présenter au boulot pour ainsi dénoncer la surcharge de travail.
Ces dernières ont réintégré leur fonction à 22 heures alors qu'une audience devant le Tribunal administratif du travail (TAT) était prévue une heure plus tard.
Le syndicat rencontre l'employeur demain, mardi, pour tenter de résoudre cette crise.
Julie Daignault est présidente du Syndicat des professionnelles en soin des Laurentides affilié à la FIQ
On aura une rencontre avec l’employeur, dès demain, pour tenter de trouver des solutions à long terme. C’est très critique et il faut que ça cesse. Il faut que ça arrête, c’est n’est pas d’hier la problématique et il faut que ça change et que ça change maintenant.