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Portrait numérique de la région des Laurentides | Bruno Guglielminetti, porte-parole des enquêtes NETendances à l’Académie de la transformation numérique
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Les résidents de la région des Laurentides sont ceux qui utilisent le moins l’Internet dans leur quotidien au Québec selon le plus récent portrait numérique de la région des Laurentides publié par L’Académie de la transformation numérique de l’Université Laval.
Alors que la connexion internet résidentielle est encore plus que limitée dans plusieurs secteurs des Laurentides, bien des utilisateurs se rabattent de plus en plus vers les forfaits de données cellulaires lorsque le réseau cellulaire offre davantage de fiabilité que le réseau internet terrestre.
On note une forte augmentation de l’utilisation des téléphones intelligents dans la région depuis les cinq dernières années.
C’est ce que nous expliquait Bruno Guglielminetti, porte-parole des enquêtes NETendances à l’Académie de la transformation numérique.
Les faits saillants dans la région:
- Le taux de foyers branchés à Internet dans les Laurentides a connu une augmentation de 3 points de pourcentage au cours de la dernière année et il se situe maintenant à 94 %, soit une proportion identique à celle observée pour l’ensemble du Québec.
- Le nombre d’adultes habitant dans les Laurentides qui disposent d’une connexion Internet résidentielle avec un fournisseur de services de télécommunication est demeuré relativement stable au cours de la dernière année et se situe maintenant à 77 %, soit au même taux que l’ensemble du Québec.
- La proportion d’adultes habitant dans les Laurentides qui utilisent Internet est demeurée relativement stable au cours de la dernière année, passant de 90 % à 92 %. Il s’agit d’un résultat inférieur à la moyenne de l’ensemble du Québec (95 %). C’est la région où l’on retrouve le plus faible taux d’internautes au Québec.
- La proportion d’adultes habitant dans les Laurentides qui détiennent un téléphone intelligent a augmenté de 7 points de pourcentage au cours de la dernière année, passant de 76 % à 83 %. Il s’agit d’un taux supérieur à celui observé pour l’ensemble du Québec (79 %).
